Bâtir un Gabon Durable : Une Transition Écologique au Service du Développement
Le 30 août 2023 marque un tournant décisif dans l’histoire politique du Gabon avec l’accession à la tête de l’État du Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA. Cette transition s’inscrit dans un contexte où le pays, longtemps marqué par des dysfonctionnements institutionnels et économiques, aspire à une transformation profonde et durable. À travers le Comité pour la Transition et la Restauration des Institutions (CTRI), les nouvelles autorités ont fixé un cap clair : remettre le Gabon sur la voie de la stabilité, de la croissance inclusive et du développement durable.
Dans cette dynamique, la gouvernance environnementale occupe une place centrale, traduisant une volonté affirmée de rompre avec une gestion purement extractive des ressources naturelles. Conscient des défis écologiques et économiques auxquels le Gabon est confronté, le Président de la Transition a rapidement orienté les politiques publiques vers une approche intégrée qui considère l’environnement non pas comme une contrainte, mais comme un levier stratégique pour le développement. Cette approche se reflète tant dans les engagements nationaux que dans la diplomatie verte menée par le pays sur la scène internationale.
Avec plus de 80 % du territoire recouvert de forêts, le Gabon est l’un des pays les plus riches en biodiversité d’Afrique. Cette richesse naturelle exceptionnelle, qui comprend plus de 10 000 espèces de plantes, 749 espèces d’oiseaux et 139 espèces de mammifères, représente un atout majeur, mais aussi une responsabilité importante. Face aux pressions croissantes sur les écosystèmes, notamment dues à l’urbanisation, l’exploitation des ressources naturelles et le changement climatique, la nécessité d’une gestion responsable s’impose.
Le Gabon, a rapidement adopté une posture volontariste en matière de protection de l’environnement dès les premiers mois de la Transition. Cette dynamique s’est matérialisée par la mise en place de politiques publiques écoresponsables, visant à assurer une croissance respectueuse des écosystèmes. Pour ce faire, le Gouvernement a engagé une refonte de la gouvernance environnementale, introduisant des réformes qui garantissent une meilleure protection de la biodiversité tout en créant des opportunités économiques pour les populations.
Parallèlement, le renforcement de la diplomatie verte a permis au Gabon de mieux valoriser ses efforts sur la scène internationale et d’attirer des financements dédiés à la préservation des écosystèmes. Cette approche s’est accompagnée d’une intégration progressive de la durabilité dans les stratégies économiques, notamment à travers le développement d’une fiscalité verte et la valorisation des services écosystémiques. Ainsi, le Président de la République a fait de l’environnement un pilier central du développement durable, en conciliant les aspirations légitimes de croissance économique avec les impératifs de conservation du patrimoine naturel. Loin d’être un frein, cette politique environnementale est désormais un levier de transformation et d’innovation pour l’économie nationale. le Gabon a adopté une politique environnementale volontariste, conciliant croissance économique et préservation des écosystèmes. Cette approche repose sur trois axes : une refonte de la gouvernance environnementale, le renforcement de la diplomatie verte pour attirer des financements et l’intégration de la durabilité dans les stratégies économiques, notamment à travers la fiscalité verte et la valorisation des services écosystémiques.
Face aux défis liés à l’exploitation intensive des ressources naturelles (pétrole, bois, minerais), le CTRI a mis en place une gestion équilibrée des ressources, axée sur le développement de filières durables, la lutte contre le conflit Homme-Faune et la création d’emplois verts. Grâce à un plaidoyer international actif, le Gabon mobilise des financements stratégiques, affirmant ainsi son rôle de leader africain en matière de développement durable.
Le Gabon, riche d’un patrimoine naturel exceptionnel, fait face à des défis environnementaux majeurs nécessitant une gestion équilibrée entre exploitation économique et préservation des écosystèmes. Avec une couverture forestière de plus de 80 % du territoire, le pays joue un rôle crucial dans la régulation du climat mondial grâce à sa capacité de stockage du carbone. Les forêts gabonaises, qui font partie du Bassin du Congo, sont non seulement essentielles pour la biodiversité, mais elles abritent également plus de 10 000 espèces de plantes, 749 espèces d’oiseaux et 139 espèces de mammifères. Cette richesse naturelle représente un atout stratégique pour le pays, mais elle est de plus en plus menacée par l’exploitation des ressources naturelles, l’urbanisation croissante et les conflits Homme-Faune, notamment avec les éléphants qui détruisent des cultures et aggravent les tensions dans certaines zones rurales.
L’exploitation des ressources naturelles telles que le bois, le pétrole et les minerais constitue un moteur essentiel du développement économique gabonais. Cependant, cette industrialisation exerce une pression croissante sur l’environnement, entraînant la perte d’habitats naturels, une augmentation des émissions de gaz à effet de serre et une pollution accrue des cours d’eau. Face à ces enjeux, le Gabon s’est engagé dans une démarche proactive en adoptant une stratégie nationale de gestion environnementale novatrice. Sous la direction du Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, cette nouvelle approche intègre développement économique et préservation écologique afin de garantir une exploitation durable des ressources naturelles tout en assurant la protection des écosystèmes fragiles.
Contrairement aux stratégies passées qui cloisonnaient le développement économique et la conservation environnementale, la vision actuelle repose sur une gestion intégrée. Elle s’articule autour de plusieurs axes, notamment la promotion des filières durables dans les secteurs stratégiques, la protection et la restauration des écosystèmes, le renforcement de la gouvernance environnementale et la sensibilisation des populations aux enjeux écologiques. Cet engagement se traduit également sur la scène internationale, où le Gabon s’affirme comme un acteur clé de la diplomatie verte. Le Président de la République a défendu une approche ambitieuse visant à mobiliser des financements internationaux pour accompagner la transition écologique du pays, notamment à travers le Blue Bond, qui a permis d’obtenir 168 millions de dollars pour la préservation des écosystèmes marins, ainsi qu’un don de 6 millions de livres sterling du Royaume-Uni pour la conservation des parcs nationaux de Minkébé, Ivindo et la Lopé.
Par ailleurs, le Gabon a renforcé sa présence dans les grandes instances internationales afin de valoriser ses efforts en matière de conservation. Lors de la Conférence des Trois Bassins Forestiers en octobre 2023, le pays a plaidé pour une reconnaissance mondiale des services environnementaux rendus par ses forêts. À la COP28 de novembre 2023 à Dubaï, le Gabon a souligné l’importance d’un financement climatique équitable pour les pays engagés dans la protection de leurs écosystèmes. Enfin, à l’Assemblée des Nations Unies sur l’Environnement en février 2024 à Nairobi, le leadership gabonais a été reconnu pour son engagement en faveur d’une gouvernance écologique durable et pour ses plaidoyers en faveur d’une meilleure compensation financière des efforts de conservation des forêts tropicales.
Grâce à cette stratégie ambitieuse, le Gabon s’impose comme un modèle en matière de gestion environnementale durable. Il prouve que développement économique et protection de l’environnement ne sont pas opposés, mais complémentaires. En intégrant des mécanismes de préservation dans ses politiques de développement, le pays trace la voie vers une croissance verte, conciliant impératifs économiques et protection des ressources naturelles pour assurer un avenir durable aux générations futures.
Dans le cadre de sa politique de transition écologique, le Gabon a mis en œuvre plusieurs initiatives majeures visant à préserver ses ressources naturelles tout en répondant aux défis environnementaux urgents. Parmi ces initiatives, la gestion du conflit Homme-Faune, la conservation des écosystèmes et le reboisement figurent en tête des priorités du gouvernement.
L’un des défis environnementaux les plus critiques pour le Gabon est le conflit Homme-Faune, particulièrement marqué par les interactions entre les populations rurales et les éléphants. Ces derniers, en raison de la réduction de leurs habitats naturels et de la proximité grandissante des activités humaines, pénètrent de plus en plus dans les zones agricoles, provoquant d’importants dégâts aux cultures et menaçant la sécurité des populations locales. Conscient de l’ampleur du problème, le Président de la République, a fait de cette question une priorité nationale.
En novembre 2024, le gouvernement a élaboré et validé une Stratégie Nationale de Gestion des Conflits Homme-Faune, destinée à apporter des solutions durables et adaptées aux réalités du terrain. Cette stratégie repose sur plusieurs axes fondamentaux. Tout d’abord, la création d’une Unité Spéciale chargée d’effectuer des battues administratives ciblées afin de contrôler la population d’éléphants dans les zones à risque. Ensuite, le déploiement de systèmes de dissuasion, tels que des clôtures électrifiées et des dispositifs sonores, pour éloigner les pachydermes des zones agricoles. Un volet essentiel de cette stratégie concerne également la prise en charge des victimes d’attaques, garantissant un accompagnement médical et financier aux personnes affectées par ces incidents. Enfin, un renforcement du cadre juridique a été initié afin d’encadrer les actions de gestion du conflit Homme-Faune, en intégrant des mesures de prévention et de compensation.
Grâce à ces initiatives, le Gabon entend non seulement protéger les populations vulnérables, mais aussi garantir la coexistence harmonieuse entre la faune et les communautés locales, tout en préservant son engagement en faveur de la biodiversité.
Dans le cadre de sa politique de préservation des écosystèmes, le Gabon a mis en place une stratégie de conservation et de reboisement visant à restaurer les milieux naturels et à sensibiliser la population à l’importance de la biodiversité. Un des moments forts de cette stratégie a été la célébration de la Journée mondiale de la biodiversité en mai 2024, au cours de laquelle des actions concrètes ont été entreprises à travers le pays. Cette initiative a permis la plantation de 650 propagules et 294 plantules de mangroves, un écosystème essentiel pour la protection du littoral gabonais. En effet, les mangroves jouent un rôle fondamental dans la lutte contre l’érosion côtière, la régulation du climat et la préservation de la faune marine. Elles constituent également une barrière naturelle face aux effets du changement climatique, notamment l’élévation du niveau de la mer.
Sur le plan international, le Gabon a également intensifié son engagement pour la préservation des forêts tropicales. Lors de la 20e réunion du Partenariat pour les Forêts du Bassin du Congo, le pays a plaidé en faveur d’une augmentation significative des financements destinés à la conservation des écosystèmes forestiers. Le Gabon, en tant que l’un des plus grands contributeurs à la préservation des forêts du Bassin du Congo, a souligné l’importance d’un financement équitable pour soutenir ses efforts en matière de protection de l’environnement. L’objectif est de renforcer les programmes de conservation tout en permettant aux populations locales de bénéficier des retombées économiques liées à la gestion durable des ressources naturelles.
En intégrant des initiatives locales de reboisement et en plaidant pour une reconnaissance accrue au niveau international, le Gabon démontre sa volonté de bâtir un modèle écologique équilibré. Ces actions s’inscrivent dans une vision de long terme où la préservation des écosystèmes devient un moteur du développement durable, contribuant à la fois à la lutte contre le changement climatique et à l’amélioration des conditions de vie des populations.
Dans un monde où les enjeux environnementaux et économiques sont de plus en plus interconnectés, le Gabon a choisi d’adopter une approche innovante en intégrant les impératifs écologiques dans son modèle de développement économique. Plutôt que de voir la protection de l’environnement comme une contrainte, le pays la considère comme une opportunité de croissance et de diversification économique. Cette vision repose sur la nécessité de concilier exploitation durable des ressources naturelles, attractivité économique et préservation des écosystèmes.
L’une des principales orientations stratégiques de cette transition écologique réside dans la promotion d’une fiscalité verte. Afin d’inciter les entreprises et les investisseurs à adopter des pratiques responsables, le gouvernement gabonais a mis en place des mécanismes fiscaux favorisant la réduction de l’empreinte carbone. Parmi ces mesures, la taxe carbone joue un rôle clé en intégrant le coût environnemental des activités industrielles et extractives. L’objectif est d’encourager les entreprises à limiter leurs émissions de gaz à effet de serre et à investir dans des solutions alternatives plus durables.
Par ailleurs, le Gabon explore de nouvelles compensations écologiques, notamment en incitant les entreprises à contribuer à des projets de reforestation et de préservation des zones protégées. Ces initiatives permettent de réduire l’impact des activités économiques sur l’environnement, tout en finançant des programmes de restauration des écosystèmes. En parallèle, le gouvernement travaille à la mise en place de marchés de crédits carbone, qui permettraient au Gabon de monétiser ses efforts en matière de conservation forestière et de devenir un acteur majeur du commerce international du carbone.
Grâce à cette approche, le Gabon ambitionne de s’imposer comme un leader africain du développement durable, en prouvant qu’il est possible d’assurer une croissance économique tout en protégeant les ressources naturelles. En structurant son économie autour des principes de responsabilité environnementale, d’innovation et d’inclusion, le pays jette les bases d’un modèle durable qui pourrait inspirer d’autres nations engagées dans la transition écologique.
La mise en œuvre des politiques environnementales ambitieuses du Gabon repose sur une mobilisation accrue des ressources financières, tant sur le plan national qu’international. Grâce à une diplomatie verte proactive et à la reconnaissance de ses efforts en matière de conservation, le pays a su attirer des financements stratégiques permettant de renforcer ses initiatives de protection des écosystèmes.
Afin de garantir la préservation de ses ressources naturelles tout en développant une économie durable, le Gabon a bénéficié de plusieurs sources de financement internationales. L’un des apports les plus significatifs est le Blue Bond, qui a permis de mobiliser 168 millions de dollars pour la conservation des écosystèmes marins. Cette initiative vise à assurer la protection des zones côtières, essentielles à la régulation du climat et à la biodiversité marine. Ce financement permet également de promouvoir une gestion durable des ressources halieutiques, tout en garantissant la résilience des populations locales qui en dépendent.
En parallèle, le Royaume-Uni a octroyé un financement de 6 millions de livres sterling pour soutenir des projets de conservation dans les parcs nationaux de Minkébé, Ivindo et la Lopé. Ces fonds seront alloués à des programmes de reforestation, de surveillance anti-braconnage et de développement d’infrastructures écotouristiques, permettant ainsi de valoriser ces espaces naturels tout en garantissant leur protection.
Un autre financement clé provient du Fonds pour l’Environnement Mondial (GEF), qui a accordé 1,3 million de dollars pour appuyer la gestion du conflit Homme-Faune. Ces fonds permettront de mettre en place des solutions innovantes pour minimiser les interactions négatives entre les communautés rurales et la faune sauvage, notamment par l’installation de systèmes de dissuasion, la mise en place de zones tampons et le soutien aux victimes d’attaques.
Enfin, le Gabon a soumis une demande de 10 millions de dollars auprès de l’Initiative pour la Forêt d’Afrique Centrale, afin de financer des actions de conservation et de reforestation. Cette demande vise à renforcer la protection des forêts gabonaises, qui jouent un rôle majeur dans l’absorption du carbone et la régulation du climat mondial.
Grâce à ces financements, le Gabon a pu concrétiser plusieurs projets structurants dans sa politique environnementale. L’un des résultats majeurs est la restauration des parcs nationaux et des zones tampons, garantissant la protection des écosystèmes clés tout en permettant une exploitation durable des ressources naturelles. Ces actions s’accompagnent du développement de solutions alternatives pour les populations vivant à proximité de ces aires protégées, leur offrant de nouvelles opportunités économiques basées sur l’écotourisme et l’agroforesterie.
Par ailleurs, ces financements ont permis de renforcer la protection des forêts et des zones marines protégées, contribuant ainsi à la préservation de la biodiversité et à la lutte contre le changement climatique. Les actions mises en place incluent l’intensification des patrouilles de surveillance, la mise en œuvre de plans de reboisement et le déploiement de technologies avancées pour le suivi des écosystèmes.
Enfin, ces ressources ont favorisé la mise en place d’une gouvernance environnementale renforcée, avec la création de structures dédiées chargées de la gestion et du suivi des initiatives écologiques. Le Gabon a ainsi pu développer une approche plus efficace et transparente dans l’administration de ses ressources naturelles, garantissant que les projets environnementaux bénéficient d’un cadre institutionnel robuste et d’un suivi rigoureux.
Ces avancées démontrent la capacité du Gabon à conjuguer ambitions environnementales et attractivité économique, en mobilisant des financements internationaux pour accompagner sa transition écologique. Grâce à cette dynamique, le pays s’impose progressivement comme un modèle de développement durable en Afrique centrale, illustrant comment une gestion efficace des ressources naturelles peut être un levier de croissance et de prospérité pour l’ensemble de la population.
Le Gabon s’impose aujourd’hui comme un leader en Afrique centrale dans la protection de l’environnement, grâce à une politique ambitieuse conciliant développement économique et préservation des ressources naturelles. Depuis le début de la Transition, le gouvernement, sous l’impulsion du Président de la Transition, Président de la République, Chef de l’État, Son Excellence le Général de Brigade Brice Clotaire OLIGUI NGUEMA, a su traduire ses engagements écologiques en actions concrètes. Ces efforts ont permis d’obtenir des résultats significatifs en un temps réduit, notamment grâce à une planification rigoureuse et une mobilisation efficace des ressources. Des initiatives telles que la gestion du conflit Homme-Faune, la conservation des écosystèmes, le développement d’une économie verte et la mobilisation de financements internationaux ont marqué un tournant dans la gouvernance environnementale du pays.
L’ambition du Chef de l’État ne se limite pas à des actions ponctuelles, mais s’inscrit dans une vision de long terme visant à assurer la transmission d’un environnement sain et équilibré aux générations futures. Pour ce faire, il est crucial de poursuivre le développement de projets innovants en matière de conservation, d’amplifier les efforts en matière de reboisement et de renforcer les cadres juridiques et institutionnels garantissant une gestion durable des écosystèmes. En intégrant pleinement la transition écologique dans ses politiques publiques et en consolidant sa diplomatie verte, le Gabon continue de tracer la voie vers un modèle écologique de référence en Afrique et dans le monde.
En s’appuyant sur une gouvernance environnementale exemplaire et une implication collective, le Gabon se donne les moyens de bâtir un avenir durable, où l’environnement devient non seulement un atout national, mais aussi un levier de prospérité et de rayonnement dans notre essor vers la félicité.